En ces moments de confinement, Dudu fait une pause, le temps de jeter un regard rétrospectif sur la préhistoire de  .
6 ans d'existence, pour passer de la naissance à l'âge de raison (???). Ainsi, nous allons exhumer quelques articles qui vous tireront des larmes, un sourire ou quelque rictus agacé.
Et bla, bla, bla...
Pour voir l'entièreté de ce prologue, reportez-vous aux articles des jours précédents.

En ces moments de confinement, Dudu fait une pause, le temps de jeter un regard rétrospectif sur la préhistoire de  .
6 ans d'existence, pour passer de la naissance à l'âge de raison (???). Ainsi, nous allons exhumer quelques articles qui vous tireront des larmes, un sourire ou quelque rictus agacé.
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LE NOMBRIL

Jetons un oeil par le trou d'not' nombril
Histoire de voir combien nous sommes dociles
Assis devant la boîte à mensonges
Notre cerveau fait figure d'éponge
On nous abreuve de discours politiques
On nous fait miroiter des amériques
On nous baigne dans de doux espoirs
Qui sont à milles lieux de nos trottoirs

Les gens sont vraiment tous des cons
Oui mais voilà les gens c'est nous
Et ça souvent nous l'oublions
Trop occupés à s'bourrer l'mou

Jetons un oeil par le trou d'not' nombril
Histoire de voir combien nous sommes futiles
Assis devant la boîte à pépettes
On fait nos comptes nos petites emplettes
On passe une vie à économiser
Pour vivre vieux et hospitalisés
On travaille, on gratte ou l'on pari
Pour hériter, on attends Mamie !

Les gens sont vraiment tous des cons
Oui mais voilà les gens c'est nous
Et ça souvent nous l'oublions
Occupés à compter nos sous

Jetons un oeil par le trou d'not' nombril
Histoire de voir combien nous sommes fébriles
Assis devant la boîte à mamours
À espérer que ça dure toujours
On trouve l'âme sœur dans un joli paquet
Et le lendemain c'est « Vive les jeunes mariés ! »
Six ans, deux gosses, c'est dev'nu l'enfer
« Chéri je retourne chez ma mère ! »

Les gens sont vraiment tous des cons
Oui mais voilà les gens c'est nous
Et ça souvent nous l'oublions
Trop occupés à s'trouver choux

Jetons un oeil par le trou d'not' nombril
Histoire de voir combien nous fûmes débiles
Couchés dedans la boîte à mourir
Quand on y r'pense ça nous fait frémir
De savoir qu'on a été cons
Et que ces cons y'en a d'partout
Qui vivent pour se crêper l'chignon
Tout ça pour finir dans un trou !

AURELIE

Je me souviens de cet été, fameux été
Où le soleil était très jaune et le ciel bleu comme de l'eau
On venait juste de faire l'amour (masturbation)
Dans un grand lit (sac de couchage)
J'avais assuré comme toujours (c'est toi qui le dis)
Toi aussi ma Lili et puis j' t'ai dit :

REFRAIN
Aurélie (Aurélie) je t'ai donné (je t'ai donné)
des morpions (des morpions)
pour toute la vie (pour toute la vie)
si tu m'aimes (si tu m'aimes)
je t'en prie (je t'en prie)
aime-les aussi (aime-les aussi)

Je m'baladais sur cette plage (de carte postale)
Avec mes amis (avec Youki)
Y avait un très joli rivage (plein de mazout)
C'était de la magie (merci total)
Alors j'ai surpris ma main droite (la gauche aussi)
rencontrer mon pubis (celui à Youki)
et depuis ce jour là j'me gratte (vive les morbacs)
toi aussi ma Lili alors je t'ai dit :

REFRAIN

Alors j'ai pensé à tes yeux (tes yeux vitreux)
Tes beaux yeux qui sont deux (ils étaient bigleux)
Je regardais sous tes lentilles (petit salé)
Tes petites manies (dégénérée)
Aujourd'hui maint'nant je sais (tu nous fais chier)
Tu sais quand même (abrège un peu)
Si la mort nous fait souffrir (merci Baygon)
Eh bien Lili dès qu'on s'marie et c'est joli :

REFRAIN
REFRAIN
REFRAIN...

En ces moments de confinement, Dudu fait une pause, le temps de jeter un regard rétrospectif sur la préhistoire de  .
6 ans d'existence, pour passer de la naissance à l'âge de raison (???). Ainsi, nous allons exhumer quelques articles qui vous tireront des larmes, un sourire ou quelque rictus agacé.
Et bla, bla, bla...
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