• Une reprise de La p'tite Bill, elle est malade d'Alain Souchon par notre ami Renaud...
    Rareté de 1980 sur le site de l'INA, c'est pas hier !

    L'avis de Un p'tit Renaud en passant... : un peu court mais pas mal quand même. Il avait encore une voix correcte en ce temps-là.

    Désolé pour les allergiques au chanteur énervant, mais Dudu n'a pas encore trouvé le truc pour désactiver la lecture automatique de cette vidéo...


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  • Une reprise de La p'tite Bill, elle est malade d'Alain Souchon par notre ami Renaud...
    Rareté de 1980 sur le site de l'INA, c'est pas hier !

    L'avis de Un p'tit Renaud en passant... : un peu court mais pas mal quand même. Il avait encore une voix correcte en ce temps-là.

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  • En ce dimanche frisquet, un p'tit puzzle coulissant pour se distraire quelques minutes...
    Le titre de la rubrique vous donnera un indice sur le thème de l'image.

    Comment jouer : Cliquer sur une pièce adjacente à la case vide pour la faire bouger vers cette case et reconstituer peu à peu l'image initiale.

    Un mot de commentaire.
    Roland Cuvelier, le dessinateur lillois dont Cocorico ! vous a déjà parlé, a souvent évoqué les traditions de notre région. Le combat de coqs en fait partie, comme la colombophilie.
    Ci-dessous un article de La Voix du Nord du 31 mai dernier évoquant les coqueleurs, ou plutôt les coqueleux comme on dit chez nous.

    C’est une occupation légale, mais uniquement dans le Nord - Pas-de-Calais et les Antilles. Mais s’ils ont pignon sur rue, les coqueleurs préfèrent jouer à l’abri des regards. Et viennent parfois de loin, comme les clients du gallodrome de Mouchin, l’un des 50 derniers de la région.

    Avant de rentrer, il faut montrer patte blanche : pas de photo du coq « armé », ni du combat. « Notre association, l’une des deux qui rassemblent les coqueleurs de la région, ne le souhaite pas », explique gentiment Viviane Lemaine, propriétaire du Coq d’Or, à Mouchin, et secrétaire de l’Association pour la défense de la tradition gallophile (ADTGRNF). Peur que la tradition, son sang, son apparente violence, ne soit mal comprise des néophytes. Les combats de coqs, comme la corrida, ont leurs détracteurs. « C’est mal connaître les coqs. Ici, il n’y a que des races de combattants. C’est dans leurs gènes. Ils peuvent mourir d’un coup de sang s’ils ne combattent pas », décrypte Gino Trévissoi, le vice-président de l’association. Et d’appuyer : « Au moment de la grippe aviaire, en 2006, les gallodromes étaient fermés. On a eu énormément de pertes à cause de l’arrêt des combats ».

    Dans l’estaminet de Viviane, plusieurs dizaines de clients s’extasient sur les bêtes à plumes en français, en flamand. On boit un coup entre « coqueleux », avant de jouer son coq : le gallodrome se situe au fond de la cour. « Beaucoup viennent de Belgique, où les combats sont interdits. Certains font même le trajet d’Anvers ou du Limbourg plusieurs fois par semaine ! », explique Viviane, qui organise trois concours hebdomadaires, rassemblant plusieurs centaines de coqueleux.

    Des assoiffés de sang, friands de crêtes qui frémissent et de plumes qui volent ? « Non. Juste des éleveurs qui aiment leurs bêtes et qui cherchent les meilleurs croisements pour élever des champions. C’est une passion identique à celle des coulonneux ou des pêcheurs », estime Gino pour qui la circulation d’argent lors des paris reste anecdotique.

    Mais le combat obéit à des règles strictes : deux combattants, six minutes sur le ring. Comme les boxeurs, le coq relève d’une catégorie parmi quatre : petit, moyen mi-lourd et lourd. Le volatile perdant est celui qui se couche plus de 2 mn. S’il meurt, il finit à la casserole. Sans même offenser la tradition.

    Ce que dit la loi
    Depuis 50 ans, elle est claire : seuls le Nord – Pas-de-Calais et les Antilles peuvent organiser des combats de coqs. Des exceptions françaises, alors que la plupart des autres pays européens ont interdit cette tradition, qui serait plus vieille encore que les Romains.

    La loi Grammont de 1850 avait bien banni les mauvais traitements à animaux mais n’était guère appliquée dans les gallodromes. Une autre loi de 1963 a durci l’interdiction mais la forte mobilisation aurait arraché cette phrase à de Gaulle : « Puisqu’on mange les coqs, il faut bien qu’ils meurent ». Le 8 juillet 1964, les combats de coqs étant officiellement autorisés dans les lieux à tradition locale ininterrompue.

    « Fondé par mon arrière grand-père »
    Viviane Lemaine représente la quatrième génération à exploiter le Coq d’Or. « Mon aïeul, François Legrand, avait installé un grillage à même la terre battue, dans sa forge, pour les combats de coqs », raconte Viviane. La légende familiale n’a pas retenu les dates mais développé le loisir : « Mon grand-père Triffon, le gendre de François, a fermé la forge et développé l’estaminet ». Sa petite-fille a épousé un coqueleur passionné et institutionnalisé les combats les lundis, mercredis et vendredis. « Mais il y a de moins en moins de coqueleurs », estime celle qui un jour passera la main à un autre amoureux des volatiles, mais sans doute pas à sa fille.

     


    Proposition de Dudu pour rendre le combat de coqs moins sanglant

     

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